Poème de Danika
La jalousie La jalousie est comme une tornade.
Tout le monde la redoute, essaie de l'éviter mais dès qu'elle vous attrape, elle vous emporte et détruit tout sur son passage, même ce que vous avez de plus précieux.
La jalousie est comme un chien enragé.
Elle paraît d'abord inoffensive mais dès qu'elle s'approche de vous, vous savez que vous n'y échapperez pas. Elle fait pleurer quiconque sur qui les crocs de cet animal se referment.
La jalousie est comme les sables mouvants.
On marche sans se rendre compte de ce qui nous attends. On ne la voit pas mais lorsque qu'on marche dessus, elle nous submerge de plus en plus, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien de nous.
La jalousie est comme un serpent venimeux.
Il nous regarde, immobile, l'air méfiant. On pense avoir le temps de s'enfuir en courant mais aussitôt qu'il fait un mouvement brusque, on est pris au piège, il nous étouffe.
La jalousie est comme un meurtrier en série.
Il attaque, les yeux fermés, sans penser aux conséquences. Il n'a aucune pitié, pour personne. Il prend la première arme et tue, aveuglément.
La jalousie est comme du feu.
Temps qu'on le regarde sans y toucher, on est correct. Mais dès que l'on y touche du bout des doigts, on se brûle. La peau guérira mais restera meurtrie et cicatrisée à jamais.
La jalousie est votre pire ennemi.
Elle vous poignarde dans le dos, et vous fait regretter pour l'éternité d'avoir accepter de l'expérimenter. Elle vous entraîne malgré vous, dans le mauvais chemin. Elle est mère de tous les vices.
La jalousie est la pire chose qui soit.
Dnika Hébert 21 ans